• Une nouvelle obligation d’honnêteté de bonne foi dans l’exécution contractuelle reconnue par la Cour suprême du Canada
    25 novembre 2014
    Dans une affaire qui a fait jurisprudence, la Cour suprême du Canada a : (1) reconnu la bonne foi comme un « principe général d’organisation » du droit canadien des contrats; et (2) a reconnu une nouvelle obligation d'«exécution honnête », qui exige des parties qu’elles soient honnêtes les unes avec les autres en ce qui concerne l’exécution de leurs obligations contractuelles. La décision rendue dans l’affaire Bhasin c Hrynew, 2014 CSC 71, s’applique généralement à tous les contrats canadiens, autres que ceux assujettis au droit québécois (qui reconnaît également certaines obligations de bonne foi). La notion d’une doctrine générale et indépendante de l’exécution de bonne foi des contrats a toujours été combattue en common law anglo-canadienne. La décision rendue dans l’affaire Bhasin c. Hrynew ne va délibérément pas au-dessus de la reconnaissance d’une « obligation générale de bonne foi », mais fait un pas de plus dans cette direction, avec la reconnaissance du « devoir d’honnêteté » plus étroit.
  • Le différend sur les réparations d’aménagement paysager entraîne des pénalités personnelles contre les administrateurs de condominiums et une histoire fascinante de guerre de gouvernance
    24 novembre 2014
    Les décisions des tribunaux qui tiennent les administrateurs de sociétés personnellement responsables d’avoir agi de mauvaise foi ont tendance à être rares dans la jurisprudence canadienne. C’est exactement ce qu’a fait la récente décision de la Cour d’appel de l’Ontario dans l’affaire Boily et al c. Carleton Condominium Corporation 145 et al, 2014 ONCA 574. Bien qu’à première vue, Boily semble traiter du droit des condominiums, il contient également des messages importants pour les administrateurs de sociétés. La décision rendue dans l’affaire Boily nous rappelle les conséquences personnelles coûteuses qui peuvent découler du manquement des administrateurs à leurs obligations en tant que membres du conseil d’administration , peu importe leur niveau de rémunération ou la nature de la société au sein du conseil d’administration de laquelle ils siègent.
  • ISS annonce des mises à jour des lignes directrices canadiennes sur le vote par procuration de 2015
    18 novembre 2014
    Institutional Shareholder Services (ISS) a publié des mises à jour de ses lignes directrices canadiennes sur le vote par procuration pour la prochaine saison de procurations de 2015. Les mises à jour d’ISS s’appliqueront aux assemblées des actionnaires des sociétés canadiennes cotées en bourse qui auront lieu le 1er février 2015 ou après cette date. Les recommandations des agences de conseil en vote telles que ISS peuvent avoir une incidence importante sur le résultat des affaires menées lors des assemblées d’actionnaires, en particulier si les investisseurs institutionnels constituent une composante importante de la base d’actionnaires. Les sociétés ouvertes canadiennes devraient examiner les mises à jour avec leur conseiller juridique afin de déterminer l’impact probable et de prendre des mesures pour atténuer toute recommandation de vote défavorable potentielle d’ISS.
  • La Commission des valeurs mobilières de l’Alberta demande à la CSC l’autorisation d’interjeter appel de la décision relative à un délit d’initié dans l’affaire Walton
    17 novembre 2014
    L’Alberta Securities Commission (ASC) a demandé à la Cour suprême du Canada l’autorisation d’interjeter appel de la décision rendue en août 2014 par la Cour d’appel de l’Alberta (Cour) dans l’affaire Walton v Alberta (Securities Commission), 2014 ABCA 723 – une décision qui a suscité une attention juridique et médiatique considérable. Dans l’affaire Walton, la Cour a infirmé diverses décisions de l’ASC concernant les dispositions relatives aux délits d’initiés, aux pourboires et aux dispositions de recommandation/encouragement de la Securities Act (Alberta). Les points focaux de la demande d’autorisation de l’ASC concernent les éléments de preuve nécessaires pour prouver les allégations de délit d’initié illégal, de dénonciation et de recommandation/encouragement, ainsi que les sanctions qui peuvent être imposées par l’ASC aux personnes reconnues coupables d’avoir eu une telle conduite. Les commentateurs ont laissé entendre que, si la décision de la Cour dans l’affaire Walton est maintenue, la capacité de l’ASC de poursuivre de futures affaires de délit d’initié sera compromise, en particulier lorsqu’une personne est accusée d’avoir recommandé à une autre personne d’acheter ou de vendre des titres ou l’a encouragée à le faire.
  • Publication de nouvelles règles canadiennes sur la transparence des revenus tirés des ressources
    28 octobre 2014
    Le 23 octobre 2014, le gouvernement du Canada a présenté sa Loi sur les mesures de transparence dans le secteur extractif (le projet de loi), qui imposera des exigences de déclaration obligatoires pour chaque entité engagée dans la « mise en valeur commerciale du pétrole, du gaz ou des minéraux » (exploration, extraction ou avoir des permis pour le faire) au Canada ou ailleurs ou qui contrôle une entité qui est ainsi engagée. Présenté dans le cadre du projet de loi omnibus C-43, le projet de loi représente une étape importante dans l’engagement du gouvernement d’établir des normes de déclaration obligatoires pour le secteur de l’extraction d’ici juin 2015, « dans le but d’accroître la transparence des paiements qu’ils versent aux gouvernements ». L’objectif du projet de loi est de mettre en œuvre les engagements internationaux du Canada de participer et de s’engager dans la lutte contre la corruption dans le secteur de l’extraction.
  • Régime fiscal du GNL de la Colombie-Britannique : avantages tarifaires et nouveau crédit d’impôt, mais l’incertitude demeure
    24 octobre 2014
    Le 21 octobre 2014, le gouvernement de la Colombie-Britannique a présenté le projet de loi 6, la Loi de l’impôt sur le revenu du gaz naturel liquéfié (LNGITA). Le projet de loi 6 est le cadre législatif du régime fiscal annoncé dans le budget de 2014 de la Colombie-Britannique. La LNGITA a d’importantes répercussions sur le développement des installations de GNL en Colombie-Britannique et sur ses propriétaires, exploitants et clients. Le régime propose un impôt à deux paliers sur le revenu tiré des activités de liquéfaction dans les installations de gaz naturel liquéfié (GNL) en Colombie-Britannique à compter de 2017. Le régime applique un impôt de 1,5 pour cent sur le revenu net (tel que défini aux fins de l’impôt sur le GNL) avant le recouvrement des pertes d’exploitation et des investissements en capital et un impôt de 3,5 pour cent sur le revenu net (passant à cinq pour cent en 2037) après le recouvrement de ces coûts, avec un crédit pour les impôts payés dans la première tranche. Ces taux représentent une diminution par rapport au taux d’imposition de sept pour cent proposé dans le budget de la Colombie-Britannique de 2014, qui, avec un nouveau crédit d’impôt sur le revenu des sociétés pour les contribuables admissibles, semble être un avantage de la part du gouvernement que l’impôt proposé à l’origine était trop coûteux compte tenu des risques d’investissement pour les promoteurs de projets. Néanmoins, une incertitude considérable demeure quant à l’application de la taxe, en particulier dans le calcul du revenu net en fonction des règles d’achat et de vente réputées en utilisant les principes des prix de transfert et un examen attentif de ceux-ci sera nécessaire.
  • Règles finales de divulgation concernant les femmes au sein des conseils d’administration et de la haute direction
    17 octobre 2014
    Les sociétés inscrites à la Bourse de Toronto devront presque certainement inclure des renseignements dans leurs circulaires d’information ou leurs formulaires d’information annuels sur la représentation des femmes au sein de leur conseil d’administration et de la haute direction pour la saison des procurations de 2015. Le 15 octobre 2014, les autorités en valeurs mobilières d’un certain nombre d’administrations canadiennes ont annoncé des modifications finales au Règlement 58-101 sur l’information concernant les pratiques de gouvernance d’entreprise et au Formulaire 58-101A1, Information sur la gouvernance d’entreprise. Les administrations participantes comprennent l’Ontario et le Québec. L’Alberta et la Colombie-Britannique se distinguent par leur absence.
  • L’ASC procède à des modifications au Régime de déclaration selon le système d’alerte, mais abandonne deux changements clés proposés
    14 octobre 2014
    Le 10 octobre 2014, les Autorités canadiennes en valeurs mobilières (ACVM) ont publié l’Avis 62-307 du personnel des ACVM, qui énonce les changements apportés aux modifications proposées précédemment annoncées au régime canadien de déclaration rapide.Les ACVM ont déjà annoncé une proposition visant à réduire le niveau de propriété auquel un émetteur doit divulguer sa participation à cinq pour cent par rapport aux 10 pour cent actuels et à inclure les positions de « dérivés équivalents aux actions » (dérivés qui reproduisent substantiellement les conséquences économiques de la propriété) pour déterminer si un actionnaire a déclenché le seuil d’information anticipée. Les ACVM ont également proposé une série de réformes supplémentaires afin d’exiger la déclaration des réductions des participations et des avoirs en dérivés et de limiter l’accès au système de déclaration mensuelle alternative (DCP) pour les porteurs de titres qui sollicitent activement des procurations.
  • La TSX adopte des modifications de prolongation concernant les ententes de rémunération fondées sur des titres et les inscriptions déguisées
    14 octobre 2014
    La Bourse de Toronto a adopté des modifications au Manuel des sociétés de la TSX, qui permettent aux émetteurs inscrits d’adopter des ententes de rémunération fondée sur des titres pour les employés d’une société cible dans le contexte d’une acquisition sans obtenir l’approbation d’un titre; et élargir la portée des transactions qui peuvent être considérées comme des « listes de porte dérobée ».
  • La promesse (et les limites) du nouveau traité d’investissement entre le Canada et la Chine
    01 octobre 2014
    Le traité bilatéral d’investissement (TBI) entre le Canada et la Chine, qui entre en vigueur le 1er octobre, marque un approfondissement des relations économiques bilatérales. Bien qu’il soit un peu moins ambitieux que les récents TBI que le Canada a conclus avec d’autres partenaires commerciaux, le TBI Canada-Chine établit néanmoins des droits importants pour les investisseurs chinois et canadiens, ainsi que les outils pour faire respecter ces droits.《中加双边投资协定》(BIT)于 10 月 1 日生效,标志着中加双边经济关系进一步深化。 与加拿大最近和其他贸易伙伴签署的 BIT 相比,该协定所设立的目标并不高,但这确立了中国和加拿大投资者的重要权利,以及强制执行这些权利的工具。
  • Le nouveau règlement d’arbitrage de la LCIA entre en vigueur le 1er octobre 2014
    01 octobre 2014
    L’arbitrage international est souvent choisi sur les litiges traditionnels pour résoudre les différends commerciaux, car il est généralement perçu que les arbitrages peuvent être entrepris plus efficacement et plus rapidement que les litiges. Ces dernières années, et face à des différends qui deviennent de plus en plus complexes, certains des systèmes de règles d’arbitrage importants du monde ont été substantiellement modifiés pour préserver le caractère efficace et rapide de l’arbitrage.
  • Les ACVM proposent une nouvelle approche harmonisée fondée sur les offres publiques d’achat
    15 septembre 2014
    Le 11 septembre 2014, les Autorités canadiennes en valeurs mobilières (ACVM) ont annoncé la publication de l’Avis 62-306 du personnel des ACVM, qui envisage une nouvelle approche réglementaire harmonisée pour le régime canadien d’offres publiques d’achat.
  • L’organisme national de réglementation des valeurs mobilières va de l’avant; Publication d’un projet de loi
    15 septembre 2014
    Le 8 septembre 2014, les gouvernements du Canada, de la Colombie-Britannique, de l’Ontario, de la Saskatchewan et du Nouveau-Brunswick ont annoncé la signature d’un protocole d’entente officialisant les modalités du Régime coopératif de réglementation des marchés des capitaux (le Régime coopératif), l’organisme national de réglementation des valeurs mobilières proposé pour le Canada. L’ébauche des lois provinciales et fédérales qui mettraient en œuvre le régime coopératif a maintenant été publiée aux fins de commentaires du public. La loi vise non seulement à harmoniser la réglementation des valeurs mobilières, mais aussi à apporter des modifications à la législation existante afin de « mettre à jour et de moderniser » les lois sur les valeurs mobilières.
  • Le Canada et l’UE terminent les négociations du traité commercial
    12 août 2014
    Le 5 août 2014, le Canada et l’Union européenne (UE) ont annoncé qu’ils avaient terminé la négociation de l’Accord économique et commercial global (AECG). Au Canada les entreprises intéressées à entrer sur le marché de l’UE ou à étendre leur présence là-bas, et les entreprises de l’UE intéressées à faire de même au Canada, devrait commencer à planifier la meilleure façon de tirer parti de l' les possibilités que l’AECG créera.
  • La Saskatchewan et le Nouveau-Brunswick se joignent au Régime coopératif de réglementation des marchés des capitaux
    14 juillet 2014
    Le 9 juillet 2014, le ministre des Finances du Canada a annoncé ce qui suit : La Saskatchewan et le Nouveau-Brunswick ont convenu de se joindre à la coopérative Système de réglementation des marchés des capitaux qui a été proposé par l' les gouvernements du Canada, de la Colombie-Britannique et de l’Ontario. Cette annonce marque le premier développement matériel vers un ressortissant canadien l’organisme de réglementation des valeurs mobilières depuis le cadre avait été initialement proposé en septembre 2013.
  • Répercussions de la décision de la Cour suprême sur le titre ancestral
    02 juillet 2014
    Le 26 juin 2014, la Cour suprême du Canada a rendu une décision unanime dans l’affaire Nation Tsilhqot’in c Colombie-Britannique, 2014 CSC 44. C’est la première fois qu’un titre ancestral est accordé – jusqu’à présent, le concept n’existait qu’en théorie. La décision attendue de longue date porte sur deux questions importantes touchant le titre ancestral et la compétence provinciale à l’égard de ces terres.
  • La France prévoit des recours collectifs de consommateurs
    26 juin 2014
    La France, suivant l’exemple de nombreux autres membres de l’Union européenne, a promulgué une législation prévoyant des recours collectifs dans le domaine du droit de la consommation. La nouvelle loi, connue sous le nom de « loi Hamon », a été adoptée en février mais entre toujours en vigueur par le biais de divers décrets, qui fournissent également de plus amples détails sur la mécanique de la législation. La loi couvre de nombreuses questions de consommation en plus de prévoir des recours collectifs.
  • La Cour suprême des États-Unis confirme la théorie de la fraude sur le marché dans les recours collectifs en valeurs mobilières
    25 juin 2014
    Un décision très attendue de la Cour suprême des États-Unis, Halliburton Co. c. Erica P. John Fund, Inc. a été publié le 23 juin 2014. Alors que le Suprême La Cour a confirmé la présomption de « fraude sur le marché » de confiance qui a fait les États-Unis une juridiction favorable aux demandeurs pour les recours collectifs en valeurs mobilières, il a fourni aux défendeurs un nouvel outil potentiellement puissant pour contester l' à l’étape de la certification.
  • Les recours collectifs sont maintenant disponibles en Belgique
    18 juin 2014
    La Belgique a rejoint les rangs d’autres pays européens qui permettent la possibilité de déposer une réclamation collective, plus communément appelée un recours collectif. Il y a clairement une tendance mondiale en faveur des recours collectifs et la Belgique ne fait pas exception, testant les eaux en adoptant une législation qui prévoit des recours collectifs de consommateurs. On s’attend actuellement à ce que la loi entre en vigueur en septembre 2014.
  • Le vol de données sur les clients donne lieu au premier recours collectif certifié en matière de protection de la vie privée en Ontario
    12 juin 2014
    Les entreprises qui recueillent des renseignements personnels ont un incitatif supplémentaire à surveiller les employés qui traitent les données des clients – le premier recours collectif de l’Ontario découlant du nouveau délit d'« intrusion dans l’isolement » a été certifié la semaine dernière. Dans l’affaire Evans c. Banque de Nouvelle-Écosse, les demandeurs ont cherché à certifier un recours collectif contre la banque et l’un de ses employés, Richard Wilson, qui a fourni des renseignements privés et confidentiels sur les clients de la banque à des tiers dans le cadre d’une escroquerie de vol d’identité déjouée par la police de Calgary.
  • Bennett Jones Printemps 2014 Perspectives économiques
    10 juin 2014
    Alors que le paysage géopolitique a changé quelque peu depuis nos Perspectives économiques de novembre 2013, les perspectives de croissance économique mondiale n’ont pas beaucoup changé. Nous continuons de prévoir une croissance mondiale réelle d’environ 3,5 % en 2014 et en 2015. Toutefois, l' la composition internationale et industrielle de cette croissance changera quelque peu en 2014 et 2015. Croissance en 2016 devrait être d’environ 3,5 pour cent, mais avec d’autres changements dans la composition qui peuvent avoir pour le Canada. Dans la section I, nous décrivons les caractéristiques les plus importantes des perspectives mondiales pour 2016. Dans la section II, nous présentons les perspectives d’un Canada à deux vitesses dans le contexte des perspectives pour les et surtout dans le contexte des changements structurels en cours au Canada et dans la province les économies. Dans cette section, nous examinons également les réponses politiques possibles aux défis structurels. Comme d’habitude, dans la dernière section, nous examinons les perspectives du commerce mondial en portant une attention particulière aux défis que nous devons relever visage au Canada.
  • Utilisation fiscale efficace par les détaillants en ligne canadiens des opérations aux Bermudes pour l’expansion internationale
    10 juin 2014
    La croissance des ventes au détail en ligne a globalement dépassé la croissance de tous les autres canaux de vente au détail, y compris au cours de la dernière récession. Par exemple, en Angleterre au cours de 2012, il a été estimé que e-tail en ligne a augmenté en moyenne de 17 pour cent, par rapport à toutes les autres croissances de la vente au détail en Angleterre d’environ 2.1 pour cent au cours de la même période. En 2012, les entreprises canadiennes ont vendu pour 122 milliards de dollars de biens et de services sur Internet, et en 2012, 11 % des entreprises canadiennes ont vendu leurs biens et services en ligne, comparativement à seulement sept pour cent en 2011. Aux États-Unis, il y a 263 millions d’internautes et plus de 100 millions d’Américains qui achètent régulièrement des biens en ligne. Forbes estime que d’ici 2017, les ventes au détail en ligne aux États-Unis atteindront 370 milliards de dollars.
  • Un deuxième avis sur les opinions d’équité dans les arrangements commerciaux
    10 juin 2014
    Les décisions relatives aux plans d’arrangement d’entreprise ont tendance à être de deux variétés. La plupart sont des décisions assez simples, où le demandeur prouve qu’il s’est conformé à l’ordonnance provisoire déjà rendue par le tribunal, montre qu’une assemblée des actionnaires a eu lieu et que les actionnaires ont approuvé le plan, et le plan est juste et raisonnable. Les appuis ont tendance à être courts et les audiences se font souvent en chambre.
  • Le juge Rakoff a annulé: le règlement SEC-Citigroup renvoyé pour réexamen
    04 juin 2014
    Dans une décision tant attendue, la Cour d’appel des États-Unis pour le deuxième circuit a annulé aujourd’hui la décision très controversée du juge Rakoff qui a refusé d’approuver un règlement de 285 millions de dollars entre les États-Unis Securities and Exchange Commission and Citigroup Global Markets Inc. L' le règlement ne contenait aucune admission de responsabilité par Citigroup à actes répréhensibles.
  • Rationalisation de l’information pour les émetteurs capital-risque
    29 mai 2014
    Le 22 mai 2014, les Autorités canadiennes en valeurs mobilières (ACVM) ont publié aux fins de commentaires des modifications proposées au Règlement 51-102 sur les obligations d’information continue (Règlement 51-102), au Règlement 41-101 sur les exigences générales en matière de prospectus (Règlement 41-101), au Règlement 52-110 sur les comités d’audit (Règlement 52-110) et aux politiques connexes connexes. Les modifications proposées, si elles sont adoptées, simplifieraient et adapteraient l’information pour les émetteurs investisseurs investisseurs et rendraient les exigences d’information pour les émetteurs à capital de risque plus faciles à gérer pour les émetteurs à leur stade de développement.