Sander Grieve écrit dans Canadian Mining Journal sur ce à quoi pourraient ressembler les règles de l’exploitation minière dans l’espace.
Ce n’est peut-être pas encore aux tables de conférence canadiennes, mais le gouvernement fédéral a commencé à tourner son moteur politique pour contempler les conditions dans le grand inconnu, à commencer par la lune.
Dans le projet de loi C-19, la loi qui met en œuvre le budget fédéral de 2022, un amendement est inclus qui dit: « Un membre d’équipage canadien qui, au cours d’un vol spatial, commet un acte ou une omission à l’extérieur du Canada qui, s’il est commis au Canada, constituerait un acte criminel est réputé avoir commis cet acte ou cette omission au Canada. »
Et dans la dernière tentative de réglementer l’utilisation de l’espace par le biais de traités internationaux, six nouveaux pays ont signé les accords d’Artemis dirigés par la NASA jusqu’à présent en 2022, ce qui porte le nombre total de signataires à 20. Le Canada est l’un des huit pays membres fondateurs à signer en octobre 2020. Les Accords d’Artémis établissent un ensemble pratique de principes pour guider la coopération en matière d’exploration spatiale, y compris en ce qui concerne les ressources spatiales.