À la fin d’un arbitrage, il n’est pas rare que les parties qui ont gain de cause demandent à leur avocat quand une procédure peut être engagée pour faire exécuter une sentence. Souvent, ils craignent que les parties perdantes ne liquident leurs actifs ou ne les déplacent vers un pays où l’application de la loi est plus difficile. Toutefois, il existe une certaine incertitude, tant à l’échelle internationale qu’au Canada, quant au moment où les sentences arbitrales deviennent mûres pour l’exécution. Cet article examine cette incertitude et suggère que les praticiens de l’arbitrage devraient entamer une procédure d’exécution dès que possible après la conclusion d’un arbitrage afin d’éviter les risques susmentionnés. Publié par l’Institut d’ADR du Canada Inc. dans l’édition de novembre 2014 de
Perspectives ADR.
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