En septembre 2009, le Tribunal canadien des droits de la personne s’est immisce dans un débat très public et acrimonieux sur le rôle des tribunaux et des commissions des droits de la personne, en particulier dans la lutte contre les discours haineux. Dans l’affaire Warman c. Lemire, le Tribunal a statué que le paragraphe 13(1) de la Loi canadienne sur les droits de la personne (LCDP), qui interdit la communication de messages haineux, portait atteinte à la garantie constitutionnelle de liberté d’expression, à l’alinéa 2b) de la Charte des droits et libertés. La décision a ajouté à une tempête de feu
de débat médiatique, politique et universitaire sur la question de savoir si les lois anti-discrimination devraient interdire le discours de haine. La décision Warman est compliquée par une décision de la Cour suprême vieille de vingt ans, dans une décision 4-3, selon laquelle une disposition précédente de la LCDP est constitutionnelle.
Cet article a été publié à l’origine dans le volume 19 du Forum constitutionnel publié par le Centre d’études constitutionnelles.
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