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L’Ontario propose d’assouplir les règles de longue date sur les administrateurs et les approbations des actionnaires

02 novembre 2020

Écrit par Ian Michael and Tyler McAuley

D’importants changements à la Loi sur les sociétés par actions de l’Ontario (LSAC) ont été proposés par le gouvernement de l’Ontario dans Bill 213: Better for People, Smarter for Business Act, 2020, qui :

  • supprimer les exigences en matière de résidence au Canada pour les administrateurs; et
  • permettre aux sociétés privées d’adopter des résolutions ordinaires par écrit avec l’approbation de la majorité (plutôt que de l’unanimité) des actionnaires.

Suppression des exigences en matière de résidence au Canada pour les administrateurs

À l’heure actuelle, l’OBCA exige qu’au moins 25 % des administrateurs d’une société ontarienne soient des résidents canadiens. En abandonnant cette exigence, la loi corporative de l’Ontario s’inscrit dans la législation correspondante de plusieurs autres provinces canadiennes, y compris la Colombie-Britannique, le Québec, la Nouvelle-Écosse et le Nouveau-Brunswick et, en attendant la proclamation finale, bientôt aussi l’Alberta. Ces modifications législatives reflètent, en partie, une reconnaissance de l’aspect artificiel d’exiger qu’un Canadien résidant au conseil d’administration d’une société de l’Ontario en l’absence d’une justification commerciale, une exigence qui est souvent neutralisée dans tous les cas par la mise en œuvre d’une déclaration unanime des actionnaires qui élève des pouvoirs décisionnels significatifs aux actionnaires. Nous nous attendons à ce que ce changement soit bien accueilli par les investisseurs étrangers, y compris les promoteurs de capital-investissement, qui cherchent à participer à l’économie de l’Ontario.

Résolutions écrites d’actionnaires avec approbation majoritaire

Le deuxième changement permettrait aux sociétés privées de l’Ontario d’adopter des résolutions ordinaires des actionnaires par écrit, au lieu d’une assemblée des actionnaires, lorsqu’elles ont été approuvées par une majorité d’actionnaires. Les assemblées d’actionnaires peuvent être remplacées par une résolution écrite approuvée par une majorité d’actionnaires à condition qu’elle traite de toutes les questions requises par l’OBCA pour être traitées lors d’une assemblée des actionnaires et que toutes ces questions ne nécessitent qu’une résolution ordinaire. Les modifications proposées exigeraient qu’un avis d’une telle résolution écrite soit donné dans les 10 jours suivant la signature par les détenteurs d’au moins la majorité des actions à tous les actionnaires autorisés à voter sur ces résolutions qui ne l’ont pas signée. Cette nouvelle disposition relative aux résolutions écrites approuvées par une majorité est assujettie à tout seuil de vote plus élevé qui pourrait exister dans les statuts de la société ou dans une convention unanime des actionnaires. Elle ne s’applique pas aux questions nécessitant une résolution spéciale de la part des actionnaires ou l’approbation d’une catégorie particulière d’actionnaires.

La décision d’autoriser les résolutions écrites des détenteurs de la majorité des actions au lieu de tenir une assemblée des actionnaires donnera aux entreprises ontariennes une plus grande souplesse administrative. À l’heure actuelle, une résolution écrite des actionnaires doit être unanime. L’unanimité peut être une norme difficile à atteindre pour de nombreuses sociétés, y compris celles qui ont un grand nombre d’actionnaires ou un actionnaire minoritaire non coopératif ou inattentif. L’expérience récente de tentatives de tenue d’assemblées d’actionnaires pendant la pandémie de COVID-19 a mis en évidence des préoccupations quant à l’exigence de convoquer, autrement inutile, des assemblées d’actionnaires pour adopter des résolutions qui ont déjà reçu le soutien requis, mais pas unanime, des actionnaires. D’autre part, les entreprises voudront peut-être tenir compte de l’impact de la réduction de l’engagement des actionnaires ou d’autres conséquences imprévues de ces changements à leurs pratiques de gouvernance d’entreprise de longue date.

Les répercussions de ces changements proposés sur vos ententes et pratiques actuelles en matière de gouvernance d’entreprise devraient être examinées. Il faut tenir compte de la disponibilité future de l’Ontario en tant qu’administration qui répond à vos besoins en matière de gouvernance d’entreprise et de votre désir de s’intégrer aux groupes de sociétés existants constitués en Ontario.

Traduction alimentée par l’IA.

Veuillez noter que cette publication présente un aperçu des tendances juridiques notables et des mises à jour connexes. Elle est fournie à titre informatif seulement et ne saurait remplacer un conseil juridique personnalisé. Si vous avez besoin de conseils adaptés à votre propre situation, veuillez communiquer avec l’un des auteurs pour savoir comment nous pouvons vous aider à gérer vos besoins juridiques.

Pour obtenir l’autorisation de republier la présente publication ou toute autre publication, veuillez communiquer avec Amrita Kochhar à kochhara@bennettjones.com.

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Auteur(e)s

  • Ian C. Michael Ian C. Michael, Associé
  • Tyler B. McAuley Tyler B. McAuley, Associé

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