Le maire de Toronto a encore une chose à craindre.
Ce matin, la Cour suprême du Canada a refusé l’autorisation d’interjeter appel de la décision de la Cour divisionnaire dans l’affaire Magder v. Ford, 2012 ONSC 6929, une décision qui a maintenu le maire Ford en fonction en infirmant une décision d’un tribunal inférieur qui l’a trouvé en violation de la Le conflit d’intérêtsmunicipal Agir et déclarer vacant son siège au conseil municipal de Toronto. La Cour n’a pas l’habitude de donner les motifs de ses décisions d’autorisation et aucune n’a été rendue aujourd’hui.
La question juridique était de savoir si le maire Ford avait voté sur une question impliquant un intérêt pécuniaire personnel. Dans ce cas, le maire avait voté pour annuler une décision du Conseil qui l’obligeait à rembourser 3 150 $ en dons de bienfaisance faits à la Rob Ford Football Foundation. La Cour divisionnaire a statué que même si l’affaire portait sur l’intérêt pécuniaire du maire, le vote était nul parce que le conseil municipal n’avait pas compétence pour ordonner la sanction initiale.
La sanction contre le maire a été ordonnée en réponse à un rapport du commissaire à l’intégrité de la Ville qui a conclu que le maire Ford avait indûment sollicité des dons de bienfaisance par l’intermédiaire de son bureau et en utilisant le papier à en-tête officiel de la Ville.
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