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La Cour Considère Que Le Refus Déraisonnable Du Consentement En Vertu De La Procédure Opérationnelle De La LCAP Dans Une Décision Établissant Un Précédent

15 décembre 2014

Dans IFP Technologies (Canada) v Encana Midstream and Marketing, 2014 ABQB 470, la Cour a clarifié pour la première fois les circonstances dans lesquelles une partie qui renonce à son droit de premier refus en vertu de l’article 24 de la procédure d’exploitation de 1990 de CAPL peut refuser son consentement à une disposition de l’intérêt de l’exploitant.

Les faits de base qui ont mené à l’affaire étaient qu’IFP a acheté une participation professionnelle inhabituelle dans un champ de pétrole lourd du prédécesseur d’Encana. Le champ a été développé avec la production conventionnelle, mais peut avoir été un candidat pour une production améliorée par le drainage par gravité assisté par vapeur (SAGD) ou d’autres méthodes de récupération améliorée. Les ententes entre les parties limitaient l’intérêt pratique de l’IFP à la production thermique et améliorée, sans qu’aucun avantage ne profite à IFP pour la production primaire. Les ententes n’exigeaient pas qu’Encana entreprenne des opérations de récupération améliorée.

Au début des années 2000, Encana a décidé de poursuivre des projets de SAGD à plus grande échelle ailleurs et de mettre le champ en vente. L’acheteur a proposé de poursuivre le développement du champ avec la production primaire. IFP a renoncé à son droit de premier refus pour l’opération, mais a refusé son consentement à la disposition au motif que la disposition serait préjudiciable à son intérêt pratique parce que l’acheteur avait l’intention de développer le champ uniquement par la production conventionnelle et ne disposait pas de la technologie nécessaire pour poursuivre le recouvrement amélioré. Encana a procédé à la disposition de son intérêt dans tous les cas. Après que l’acheteur a procédé à la production primaire, IFP a poursuivi Encana en violation du contrat, alléguant que la production primaire avait ruiné les perspectives de développement thermique et réclamant des pertes entre 45 et 70 millions de dollars.

La Cour a accepté l’argument avancé par Bennett Jones LLP, agissant au nom d’Encana, selon lequel ifp a agi de façon déraisonnable en retenant son consentement. Bien que l’IFP ait pu s’attendre à ce qu’Encana commence les opérations de récupération thermique assistée, il n’y avait aucune raison pour une telle attente dans les accords et l’IFP n’aurait pas pu forcer ces opérations. Encana ne s’était jamais engagée à entreprendre des opérations thermiques, et IFP n’a pas proposé d’opérations indépendantes elle-même. En fin de compte, la situation de l’IFP n’était pas pire après la décision qu’elle ne l’avait été auparavant.

Pour rendre sa décision, la Cour a énoncé plusieurs principes importants :

  • Compte tenu de l’absence de jurisprudence sur le pétrole et le gaz, les principes juridiques du contexte du locateur et du locataire sont pertinents pour déterminer si le consentement a été refusé de façon déraisonnable. Ces principes sont les suivants :
    • Le fardeau de la preuve incombe à la partie qui affirme que le consentement a été refusé de façon déraisonnable;
    • La partie dont le consentement est requis a le droit de fonder sa décision uniquement sur ses propres intérêts;
    • La question de savoir si une personne a agi raisonnablement en retenant son consentement dépend de toutes les circonstances factuelles; et
    • Une partie ne doit pas refuser le consentement lorsque ce refus est calculé pour atteindre un but ou un avantage accessoire qui n’est pas envisagé dans le contrat initial.
  • Il n’est pas nécessaire qu’une partie qui refuse de prendre une décision donne tous les motifs de sa décision au moment où le refus est prononcé, mais ces motifs doivent avoir influencé l’esprit du refus au moment pertinent, y compris après avoir acquis des éléments de preuve démontrant le caractère raisonnable.
  • Si le consentement est refusé de façon déraisonnable, l’exploitant est « libéré » de l’exigence de consentement.

À l’avenir, l’affaire indique que la Cour examinera toutes les circonstances et entreprendra une analyse contextuelle pour déterminer si une partie a déraisonnablement refusé son consentement en vertu du formulaire standard d’accord d’exploitation pétrolière et gazière CAPL. De plus, la retenue du consentement sera déraisonnable lorsque la partie retenue peut exiger autant en vertu de la disposition proposée qu’elle aurait eu le droit de recevoir en vertu de l’entente initiale.

L’affaire fait actuellement l’objet d’un appel.

Si vous avez des questions sur la décision et sur la façon dont elle peut vous affecter ou affecter votre entreprise, veuillez communiquer avec Grant Stapon, c.r., ou Laura Gill.

Traduction alimentée par l’IA.

Veuillez noter que cette publication présente un aperçu des tendances juridiques notables et des mises à jour connexes. Elle est fournie à titre informatif seulement et ne saurait remplacer un conseil juridique personnalisé. Si vous avez besoin de conseils adaptés à votre propre situation, veuillez communiquer avec l’un des auteurs pour savoir comment nous pouvons vous aider à gérer vos besoins juridiques.

Pour obtenir l’autorisation de republier la présente publication ou toute autre publication, veuillez communiquer avec Amrita Kochhar à kochhara@bennettjones.com.

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Auteur(e)

  • Grant N. Stapon c.r. Grant N. Stapon c.r., Associé

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