C'est une perception répandue que l'Alberta est une province favorable aux entreprises. Avec peu de paperasserie, des règlements maigres, des impôts modestes, un bassin important d'entrepreneurs, une attitude positive, une syndicalisation quasi absente, une invariabilité politique, des ressources abondantes, une infrastructure solide, un coût de la vie raisonnable, un excellent ski, des magasins d'alcool privés et une main-d'œuvre jeune et bien éduquée, il est difficile de s'opposer à cette perception. Toutefois, on ne peut pas en dire autant des lois de l'Alberta relatives aux délais de prescription. Publié dans le numéro de février 2010 de Canadian Lawyer dans le cadre de la chronique régulière de Bryan Haynes.
Article
L'anomalie de l'Alberta
Février 2010
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Note : Cette traduction a été générée par l’intelligence artificielle.
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