Dans une série d'affaires récentes très médiatisées, les tribunaux de l'Ontario ont été aux prises avec la question de savoir si les employés peuvent utiliser les actions intentées en vertu de la Loi de 1992 sur les recours collectifs, L.R. 1992, ch. 6, pour faire exécuter les demandes d'heures supplémentaires en vertu du Code canadien du travail, L.R.C. 1985, ch. L.2. La décision rendue dans l'affaire McCracken c. Compagnie des chemins de fer nationaux du Canada, 2010 ONSC 4520, soutient que les obligations légales en matière d'emploi sont des conditions implicites dans le contrat de travail d'un employé et peuvent donc faire l'objet de réclamations dans le cadre d'un recours collectif. Cette décision est en contraste direct avec la décision antérieure dans Fulawka v Bank of Nova Scotia, 2010 ONSC 1148, et, par conséquent, le droit sur cette question reste en évolution. Publié dans Volume 13, No. 1 of Work Matters, le bulletin de la Section du droit du travail et de l'emploi de l'Association du Barreau de l'Ontario.
Article
À la Cour d'appel et au-delà : Faire respecter les obligations légales dans les recours collectifs en heures supplémentaires
27 janvier 2011
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