John Weekes écrit dans Brink sur les raisons pour lesquelles il est beaucoup trop pessimiste de croire que si l'ALENA disparaissait d'une manière ou d'une autre, ce serait un désastre. Plusieurs éléments mobiles sont en jeu qui devraient aider à atténuer l'incertitude qui entrave le climat d'investissement au Canada. De 1991 à 1994, John a été négociateur en chef du Canada pour l'ALENA.
Actualités
Ce n'est pas la fin du monde si l'ALENA disparaît : John Weekes
6 décembre 2017
Republishing Requests
For permission to republish this or any other publication, contact Amrita Kochhar at kochhara@bennettjones.com.
For informational purposes only
This publication provides an overview of legal trends and updates for informational purposes only. For personalized legal advice, please contact the authors.
Note: This translation was generated by artificial intelligence.
Manchettes
Voir tous les articlesArticle de blogue