Le Canada et l’Europe lancera des négociations de libre-échange

15 janvier 2009

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Écrit par Milos Barutciski and Jesse Goldman

Le gouvernement canadien a lancé des enquêtes préliminaires des consultations avec des entreprises et d’autres les intervenants en ce qui concerne les domaines de potentiel intérêt à poursuivre dans les négociations de libre-échange avec l’Union européenne (UE). Cette négociation est potentiellement le développement le plus important dans les relations commerciales internationales du Canada depuis l' Accord de libre-échange nord-américain (ALENA) est entrée en vigueur en 1994. Toutes les indications jusqu’à présent suggèrent que l’accord économique proposé aurait une portée plus large que celle de l’un ou l’autre des Canadiens ou les accords de libre-échange (ALE) existants de l’UE, y compris l’ALENA, ouvrant ainsi un plus large éventail de les occasions d’affaires.

Le 20 décembre 2008, le ministère des Affaires étrangères Affaires et Commerce international Canada (MAECI) a publié un avis sollicitant des soumissions de la part des intéressés pour aider à déterminer leurs objectifs et leurs préoccupations et les intérêts défensifs en lien avec un a proposé un nouvel accord économique avec l' L’UE. les entreprises qui présentent leurs préoccupations et les priorités du MAECI à un stade précoce seront meilleures placés pour promouvoir leurs intérêts dans le position d’ouverture dans les négociations et dans les étapes subséquentes du processus.

Cette initiative fait suite à la déclaration faite conjointement par le premier ministre Stephen Harper et le français Président Nicolas Sarkozy le 17 octobre 2008, lorsque la France a tenu la présidence tournante de la L’UE, annonçant que le Canada et l’UE ont l’intention de : préparer des mandats officiels pour lancer des négociations sur un partenariat économique ambitieux dès le possible en 2009. Cette annonce a été faite de près suivi de l’annonce le 9 décembre, 2008, d’une entente en plusieurs phases « Ciel ouvert » destiné à libéraliser considérablement le marché de l’air les services de transport et l’investissement entre Le Canada et l’UE.

Contexte

Avec une population de près de 500 millions d’habitants et un PIB supérieur à 12 billions d’euros, représente l’UE un marché extrêmement attrayant pour les Canadiens les entreprises. Un nouvel accord économique entre Le Canada et l’UE seraient immenses la possibilité pour les entreprises canadiennes de se diversifier sur de nouveaux marchés pour l’approvisionnement en biens et les services, y compris la valeur ajoutée sophistiquée produits et technologie.

L’UE est le deuxième commerce en importance du Canada partenaire, avec le commerce bilatéral de biens et de services représentant environ 110 milliards de dollars canadiens en 2007. Avant la présente initiative, les nombreux ouvertures à l’UE pour lancer un commerce à large assise les négociations n’ont pas réussi à susciter l’engagement de l’UE. Le fait que le Canada n’était que le Le onzième partenaire commercial de l’UE et que l' L’économie canadienne est relativement ouverte, ce qui signifie que il y a eu peu d’impulsion immédiate pour l’UE d’entamer des négociations. La position de l’UE a commencé de changer en 2007 lorsque l’UE a accepté de mener une étude conjointe avec le Canada sur les coûts et les avantages d’une économie bilatérale élargie et relations commerciales.

L’étude conjointe, Évaluation des coûts et des avantages d’un partenariat économique plus étroit entre l’UE et le Canada, a été publié le 17 octobre 2008. L’étude a révélé que : les avantages économiques d’une entente bilatérale globale L’ALE serait important tant pour le Canada que pour l' L’UE. Les avantages pour le Canada de la libéralisation on prévoyait que le commerce des biens et des services serait environ 12 milliards de dollars canadiens au cours des sept premières années de la libéralisation, alors que l’avantage pour l’UE était encore plus grand avec environ 17 milliards de dollars canadiens sur la même période. De plus, le récent blocage de l' les négociations commerciales multilatérales dans le cadre de l’OMC Le Cycle de Doha a créé une incitation supplémentaire pour les deux Le Canada et l’UE poursuivront la libéralisation du commerce ailleurs.

Ce qui est en jeu

On s’attend à ce que la négociation proposée porte sur un ordre du jour très large dès le départ. Plus précisément, on peut s’attendre à ce que la négociation comprenne des efforts pour : parvenir à une libéralisation substantielle du

D’autres domaines tels que le ciel ouvert, amélioré coopération en matière de réglementation, politique de la concurrence, la protection de l’environnement, les changements climatiques et l’échange de droits d’émission, les droits du travail et les droits de l’homme, on peut également s’attendre à ce qu’il soit introduit dans l' négociations.

Le chemin à parcourir

À l’heure actuelle, le gouvernement canadien et l' La Commission européenne est engagée dans une définition de la portée l’exercice pour déterminer l’étendue du potentiel les intérêts qui seront touchés par la négociation d’un point de vue offensif et défensif. Le gouvernement canadien a lancé une la consultation des entreprises et d’autres intervenants. Bien que la Commission européenne ne l’ait pas encore fait a lancé une consultation publique similaire, les responsables de l’UE ont lancé le processus d’identification de l' négocier des intérêts. Entre autres choses, senior Les fonctionnaires européens responsables de la conduite de l' on s’attend à ce que les négociations se rendent au Canada en les prochaines semaines. Ces développements, aussi bien comme des déclarations de l’actuelle présidence tchèque de l’UE de son intention d’entamer des négociations dans les au premier semestre de 2009, indiquent que le l’initiative commerciale prend de l’ampleur.

Il y a, bien sûr, des obstacles importants à la surmonter. Du côté canadien, bon nombre des régions qui ont été identifiés comme des perspectives pour d’autres la libéralisation, comme l’approvisionnement, le commerce des services et les qualifications professionnelles et techniques, sont de compétence provinciale. À ce titre, le le gouvernement devra obtenir des résultats positifs provinciaux des engagements afin de faire avancer ses négociations dans ces domaines. De même, de nombreux domaines de l' l’intérêt pour le Canada devra être pris en compte par le les États membres de l’UE, qui auront les leurs les intérêts à protéger, notamment dans les domaines controversés tels que l’agriculture, les indications géographiques et l’utilisation d’organismes génétiquement modifiés; les hormones dans certains produits agroalimentaires. L’économie mondiale le ralentissement économique aura également une incidence sur les la portée et le rythme des négociations, avec l' la perspective d’une augmentation de l’activité économique créant des mesures incitatives pour des mesures audacieuses alors que les secteurs sont menacés chercher des exceptions défensives, des exemptions et plus longtemps les mises en œuvre ou les éliminations progressives.

Dans l’ensemble, l’initiative commerciale Canada-UE représente la plus importante à l’échelle internationale le développement du commerce pour le Canada en 15 ans. L' Les consultations du gouvernement canadien présentent un une occasion importante pour les entreprises d’influencer les paramètres des négociations en vue d’un accord potentiellement historique qui amène le Canada et l’UE plus étroitement ensemble.

Pour de plus amples renseignements sur le Les négociations entre le Canada et l’UE, leur impact potentiel sur des secteurs ou des entreprises spécifiques, ou sur la réponse à l’avis du gouvernement canadien, s’il vous plaît communiquer avec un membre de notre Commerce international et Pratique d’investissement.

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