Les Bermudes annoncent un accord d’échange de renseignements fiscaux avec le Canada

15 mai 2009

Close

Écrit par Thomas A. Bauer

Le 7 mai 2009, le ministère des Bermudes du ministère des Finances a annoncé qu’il a a conclu des négociations avec le Canada pour : participer à un échange de renseignements fiscaux (AERR). Alors que l' le gouvernement n’a pas encore fait un semblable , il est prévu de le faire dans dans un avenir proche.

L’AERR prévoira l’échange de les renseignements relatifs aux affaires criminelles et civiles questions fiscales. En outre, la conclusion d’un AERER entre le Canada et les Bermudes signifie que certains revenus gagnés par une filiale bermudienne et remise à sa société mère canadienne : être admissible à un impôt canadien favorable traitement. Étant donné que les Bermudes le font actuellement ne pas imposer d’impôt sur le revenu des sociétés ou la retenue d’impôt, l’AERF en attente avec les Bermudes signifie que canadien les sociétés voudront peut-être envisager d’utiliser une filiale des Bermudes dans le cadre de leur structure à l’étranger.

Historique

En règle générale, les sociétés canadiennes qui gagnent un revenu tiré d’une entreprise active par l’entremise de une filiale étrangère n’est assujettie qu’à : Impôt canadien sur ce revenu lorsqu’il est rapatriés au Canada sous la voie d’un dividende.

Le traitement fiscal du dividende dans la les mains du parent canadien dépendent sur la question de savoir si le dividende est considéré comme être payé à même l'« exemption » de la filiale les gains ou les gains « imposables ». À l' la mesure dans laquelle le dividende est versé à l’extérieur de l' , ils peuvent généralement être reçus par l' Parent canadien sans aucun Canadien l’impôt à payer.

Si, par contre, le dividende est versé sur les gains imposables, le la société mère est tenue d’inclure le dividende dans le revenu, mais a droit à une déduction sur la base d’une majoration de l’impôt étranger payé par la filiale. Cette déduction peut ne pas compenser entièrement l’inclusion dans le revenu au parent canadien, en particulier lorsque le revenu étranger est gagné dans un faible taux d’imposition la compétence. Il est donc généralement avantageux si le revenu est admissible à titre de gains exonérés. Par conséquent, la plupart des Les multinationales canadiennes ont tendance à structurer leurs opérations à l’étranger, y compris : financement intra-groupe et octroi de licences les arrangements, en vue de générer les gains exonérés.

Jusqu’à récemment, pour que le revenu soit admissible à titre de gains exonérés la filiale étrangère devaient résider dans un pays avec lequel : Le Canada a conclu une la convention fiscale et le revenu devaient être actifs le revenu d’entreprise gagné dans un pays signataire d’une convention fiscale. Alors que le Canada a un vaste traité réseau, la plupart des pays signataires de traités ont tendance à l’être pays ayant des taux d’imposition relativement élevés (bien qu’il y ait des exceptions notables, telles que comme la Barbade qui impose un faible taux d’imposition sur le revenu gagné par certaines sociétés).

Afin d’encourager les soi-disant paradis fiscaux de conclure des AERER avec le Canada, l' le budget fédéral a présenté des modifications aux règles fiscales canadiennes qui ont étendu le traitement favorable des gains exonérés au revenu tiré d’une entreprise active gagné dans un Pays de l’AERER par une filiale étrangère résident dans un pays d’AERER. L’attente TIEA avec les Bermudes est le premier TIEA à être annoncées puisque ces nouvelles règles ont été promulguée.

À l’heure actuelle, les Bermudes n’imposent aucun l’impôt sur le revenu des sociétés, et il n’impose pas non plus toute retenue d’impôt sur les dividendes. Une fois l’AERR des Bermudes entre en vigueur, il peut donc être possible de gagner actif revenu d’entreprise par l’intermédiaire d’un Bermudien filiale et rapatrier ce revenu au Canada sans bermudien ou Impôt canadien. En conséquence, les Bermudes sont susceptible de devenir une juridiction favorable pour les sociétés canadiennes qui cherchent à établir jusqu’à certains types d’opérations offshore.

Author

Liens connexes

Expertise connexe



View Full Mobile Experience