La Loi Sur Les ValeurS MobilièreS De L’Alberta Sera Modifiée Pour Prévoir La Responsabilité Civile Du Marché Secondaire

06 juillet 2006

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Écrit par Nick Fader

Le projet de loi 25 reçoit la sanction royale

Le gouvernement du L’Alberta a choisi de suivre l’exemple de son homologue de l’Ontario et de modifier la La Securities Act (Alberta) comprendra une responsabilité civile du marché secondaire régime. Le projet de loi 25, qui comprend un certain nombre d’autres modifications à la Securities Act (Alberta), a franchi l’article de la troisième lecture dans la Législature le 16 mai 2006 et sanction royale le 24 mai 2006. Nous sommes conseillés que les modifications établissant la responsabilité civile du marché secondaire de l’Alberta entrera en vigueur d’ici la fin de 2006. En conséquence, les investisseurs qui l’achat de titres sur le marché secondaire aura un droit légal de une action en vertu de la législation sur les valeurs mobilières de l’Alberta qui leur permettra d’intenter des poursuites pour les fausses déclarations dans le dossier de divulgation publique d’un émetteur. La nouvelle Alberta le régime de responsabilité civile du marché secondaire sera contenu dans la partie 17.01 de la Securities Act (Alberta).

Régime de l’Alberta essentiellement identique Au modèle de l’Ontario

Pour la plupart, le marché secondaire de l’Alberta le régime de responsabilité civile est une levée directe des dispositions correspondantes de la partie XXIII.1 de la Loi sur les valeurs mobilières (Ontario), qui est entrée en vigueur le 31 décembre 2005. L’univers des demandeurs potentiels, la liste des personnes avoir une responsabilité potentielle et la portée de la responsabilité sur le marché secondaire seront la même chose en Alberta et en Ontario, et le régime de l’Alberta fournira également l' les mêmes moyens de défense contre les actions pour fausses déclarations et les mêmes plafonds de responsabilité; les mesures de protection énoncées dans la Loi sur les valeurs mobilières (Ontario). Pour plus d’autres des renseignements à cet égard, veuillez consulter l’émission de septembre 2005 de Valeurs mobilières Watch, qui est disponible sur notre site Web à l’adresse www.bennettjones.ca.

Implications pour les émetteurs de l’Alberta

Pour de nombreux émetteurs dont le siège social est situé en Alberta, l’inclusion dans la Securities Act (Alberta) d’un le droit d’action prévu par la loi au profit des acheteurs du marché secondaire sera: de peu de conséquences pratiques, car un nombre important d’émetteurs de l’Alberta le sont déjà assujetti à la législation de l’Ontario. Le marché secondaire de l’Ontario le régime de responsabilité s’applique aux entités cotées en bourse qui sont des émetteurs déclarants en Ontario (y compris les émetteurs ayant des titres inscrits à la bourse de Toronto Échange) ou qui ont autrement un « lien réel et substantiel » avec l’Ontario. En vertu du critère du « lien réel et substantiel », les émetteurs qui ont un présence en Ontario et émetteurs qui ont levé des capitaux auprès de résidents de l’Ontario seront probablement assujettis au régime de l’Ontario, même dans les cas où ils ne le sont pas avoir le statut d’émetteur déclarant en Ontario. Toutefois, lorsque la partie 17.01 de la La Securities Act (Alberta) entre en vigueur, les émetteurs déclarés de l’Alberta qui n’ont pas de lien avec l’Ontario deviendront assujettis à un régime virtuellement identiques au modèle de l’Ontario et devraient tenir compte de leur réponse à cela le développement.

Documents de base par rapport aux documents non essentiels

comme l’Ontario , la partie 17.01 de la Securities Act (Alberta) établit une distinction entre les documents de base (prospectus, circulaires d’OPA, offre publique de rachat circulaires, circulaires d’offre de droits, rapport de gestion, formulaires d’information annuels, circulaires d’information, circulaires des administrateurs, données financières provisoires et annuelles les déclarations et, dans le cas de l’émetteur lui-même et de ses dirigeants, les documents rapports de modification) et les documents non essentiels (y compris les communiqués de presse, les affaires les rapports d’acquisition et, dans le cas des administrateurs qui ne sont pas également des dirigeants de un émetteur, rapports de changements importants). Dans les cas où un demandeur prouve que l' l’existence d’une fausse déclaration dans un document de base, le fardeau de la preuve sera transférer à l' l’émetteur et ses administrateurs et dirigeants (et tout autre défendeur) pour établir un la défense contre l’action. Dans le cas de documents non essentiels (et publics oraux ) un demandeur sera également tenu, sous réserve de certaines exceptions, de : prouver que le défendeur avait connaissance de la fausse déclaration, délibérément a évité d’acquérir des connaissances ou s’est rendu coupable d’inconduite grave.

Recommandations

Bien qu’il soit difficile d’obtenir des certitudes conclusions concernant un certain nombre de dispositions du nouveau marché secondaire régime de responsabilité civile à l’heure actuelle (les directives des tribunaux seront requises pour : établir les limites de certaines dispositions), nous croyons que les émetteurs sont assujettis à la au régime de l’Alberta ou de l’Ontario (ou aux deux) sera bien servi en prenant le en suivant les précautions.

Politiques de divulgation

Les émetteurs devraient : établir une politique de divulgation. La nouvelle loi prévoit une diligence raisonnable la défense et l’un des facteurs dont les tribunaux doivent tenir compte à cet égard est l’existence et la nature d’un système conçu pour s’assurer que l’émetteur respecte : ses obligations d’information continue. De tels systèmes sont habituellement énoncés dans le les politiques de divulgation, qui, entre autres, prévoient l’établissement de un comité d’information chargé d’évaluer l’entreprise l’évolution de la situation et la détermination de l’importance relative.

Suivants mise en œuvre du régime de responsabilité civile du marché secondaire de l’Ontario, Bennett Jones LLP a été engagé pour examiner et mettre à jour les politiques de divulgation d’un nombre de clients (à la fois sur une base isolée et dans le contexte de l’élargissement de la examens de la gouvernance d’entreprise). Si nous pouvons vous aider dans la mise à jour votre politique de divulgation (ou la réalisation d’un examen plus large de votre entreprise pratiques de gouvernance), veuillez nous le faire savoir.

Mises en garde pour Les émetteurs d’information prospective

doivent s’assurer que : l’information prospective (« FLI ») incluse dans les documents qu’ils publient à l' le public est identifié de façon appropriée et accompagné d’une mise en garde significative la langue. Le nouveau régime de responsabilité offre une sphère de sécurité en matière de litiges en ce qui concerne de FLI. Les défendeurs pourront se prévaloir de cette sphère de sécurité où le document contenant le FLI comprend, à proximité de ces renseignements : (i) un langage de mise en garde raisonnable identifiant le FLI en tant que tel et identifiant l' les facteurs importants qui pourraient faire en sorte que les résultats réels diffèrent sensiblement de ceux de tous les conclusion, prévision ou projection contenue dans le FLI; et (ii) une déclaration de les facteurs ou hypothèses importants qui ont été appliqués pour tirer un tel conclusion ou faire une telle prévision ou projection. De plus, la sphère de sécurité n’est disponible que si le défendeur avait un « motif raisonnable » d’en arriver à la la conclusion ou la réalisation de la prévision ou de la projection incluse dans le FLI. Pour un depuis un certain nombre d’années, les émetteurs canadiens se sont tournés vers les États-Unis pour obtenir des conseils dans l’élaboration de leurs mises en garde pour FLI, comme ces déclarations provenaient aux États-Unis et ont été omniprésents depuis la mise en œuvre de la Securities Litigation Reform Act of 1995 (« PSLRA »), qui prévoit également un refuge pour les énoncés prospectifs. Les émetteurs canadiens devraient noter ce qui est en leur cas : toutefois, que la disponibilité des sphères de sécurité de l’Ontario et de l’Alberta est sous réserve d’exigences supplémentaires. En particulier, en vertu de la LRTFP, il n’y a pas de besoin d’énoncer les facteurs ou les hypothèses importants qui ont été appliqués dans le dessin ou faire des prévisions ou des projections. Les émetteurs canadiens doivent l’être sensible à cette importante différence d’approche et s’assurer que leur les mises en garde du FLI satisfont à toutes les exigences énoncées dans la Lois de l’Alberta et de l’Ontario. Comme c’était le cas avant l’introduction de l' les nouvelles modifications en Ontario et en Alberta, nous encourageons les émetteurs à éviter un langage passe-partout dans leurs mises en garde. Entre autres choses, les émetteurs ne devrait pas reproduire les mises en garde standard du FLI dans les communiqués de presse qui ne contiennent pas réellement FLI. De plus, les mises en garde (et, dans en particulier, les facteurs ou hypothèses importants appliqués pour tirer des conclusions ou faire des prévisions ou des projections) devraient être adaptées à l’avenir la divulgation en question.

Nous rappelons aux dirigeants et aux administrateurs que l' le régime de responsabilité civile du marché secondaire (en Alberta et en Ontario) établit : des conseils précis sur le langage de mise en garde qui doit être fourni à l’égard de des déclarations orales publiques. En particulier, un conférencier doit avertir les auditeurs que : (i) les résultats réels pourraient différer sensiblement de toute prévision ou projection; et (ii) certains facteurs ou hypothèses importants ont été appliqués pour établir la prévision ou projection. L’orateur doit également renvoyer les auditeurs à une discussion complète sur le les facteurs de risque et les hypothèses connexes dans un document facilement accessible; identifier ce document (ou la partie du document contenant la discussion de ces facteurs de risque et hypothèses).

Les lecteurs doivent noter que l' La Commission des valeurs mobilières de l’Ontario a récemment publié un projet de cadre stratégique a exprimé son point de vue à l’égard de certains éléments de la défense du FLI contenus dans l' la loi de l’Ontario. Cette politique proposée est examinée ci-dessous dans le cadre de la intitulé « Projet de politique 51-604 de la Commission des valeurs mobilières de l’Ontario ».

Expert Consentements

Les émetteurs doivent s’assurer que le consentement de tout expert est obtenu dans des circonstances où la divulgation est extraite de, ou est fondée sur: un rapport, une déclaration ou une opinion faite par un expert. Les auditeurs sont une évidence exemple d’un expert de qui le consentement est souhaitable dans le cadre du nouveau secondaire régime de responsabilité civile du marché. Les cabinets d’audit ont élaboré des procédures qui présenter une demande dans les cas où on leur demande de consentir à l’utilisation de leur rapport de vérification; y compris l’examen d’événements subséquents lorsque le document contenant le rapport est déposés plus de quelques jours après l’approbation des états financiers applicables par le conseil d’administration d’un émetteur. Les émetteurs devraient s’assurer que les attentes de leurs vérificateurs à cet égard sont entendus avant le dépôt prévu les dates.

Projet de politique 51-604 de la Commission des valeurs mobilières de l’Ontario

dans un développement connexe, la Commission des valeurs mobilières de l’Ontario a récemment publié la politique 51-604 proposée (Défense en cas de fausses déclarations dans le cadre d’une approche prospective Renseignements) aux fins de commentaires. La CVMO a reçu des demandes d’un certain nombre d’émetteurs pour obtenir des conseils concernant la défense relative aux énoncés prospectifs envisagés par la loi de l’Ontario. La politique proposée énonce l’approche de la CVMO à l’égard de l' l’interprétation de certains éléments du moyen de défense, notamment : (1) la l’exigence que le langage de mise en garde et un énoncé des facteurs importants ou les hypothèses relatives au FLI doivent être incluses « à proximité » de la présentation du FLI dans des documents rendus publics; 2° le contenu du facteur de risque et la divulgation d’hypothèses envisagée par la défense; (3) l’exigence selon laquelle : il y a un « fondement raisonnable » pour toute divulgation de FLI; et (4) l’exploitation de la défense dans le contexte de déclarations publiques orales. Il est important de noter que, bien que les points de vue de la CVMO soient le résultat de délibérations éclairées, l' Les tribunaux auront le dernier mot quant à l’interprétation de la défense du FLI, étant donné qu’ils sont appelés à aborder des questions d’interprétation dans le contexte de l' les litiges intentés par des investisseurs mécontents. (C’est une hypothèse sûre que l’avocat du demandeur peut avancer des arguments interprétatifs en contradiction avec la prises par la CVMO.) En vertu de la responsabilité civile du marché secondaire de l’Ontario , la CVMO a le pouvoir d’intervenir dans une action intentée en vertu de la partie XXIII.1 de la Loi sur les valeurs mobilières (Ontario) et, vraisemblablement, pour exprimer son quant à l’interprétation appropriée des éléments de ce régime, bien que l' la politique proposée ne donne aucune indication quant à savoir si la CVMO a l’intention de : intervenir dans les actions en responsabilité civile du marché secondaire dans le but de promouvoir son interprétation de la défense du FLI. La CVMO a indiqué que l' La politique restera ouverte aux commentaires jusqu’au 2 août 2006.

L’approche de la CVMO aux questions d’interprétation associées à la défense du FLI est informée par : certains principes énoncés dans la politique proposée. De l’avis de la CVMO, l' les principes d’animation associés à la défense sont les suivants : (1) un l’investisseur qui lit un document d’information ou qui écoute une déclaration orale; contenant FLI devrait être en mesure de facilement (a) comprendre que FLI est en train d’être fourni dans le document ou la déclaration, (b) identifier le FLI, et (c) informer lui-même des hypothèses importantes qui sous-tendent le FLI et l' les facteurs de risque importants associés à une conclusion, à une prévision ou à une prévision particulière la projection; et (2) la divulgation effective est fondée sur la clarté de la présentation et la simplicité du langage et du style. Dans ce contexte, la politique proposée offre les conseils suivants en ce qui concerne les éléments de la défense du FLI noté ci-dessus.

L’exigence « immédiate »

La CVMO est d’avis que l’exigence d’inclure un langage de mise en garde et un énoncé des documents les facteurs ou les hypothèses « proches » de tout FLI n’exigent pas que ces que le langage et les déclarations de mise en garde soient immédiatement juxtaposés au FLI dans chaque cas. La CVMO a indiqué que l’interruption du flux d’un document d’information identifier le FLI en tant que tel et expliquer les facteurs qui pourraient causer des résultats réels différer pourrait introduire une complexité excessive dans la présentation et frustrer un la capacité du lecteur à suivre facilement la discussion. En général, la CVMO est de l' être d’avis que les lecteurs pourraient être mieux servis par une référence plus large, un préfaçage ou suivre le FLI (s’il y a lieu), et qu’une approche de cette nature devrait satisfont généralement à l’exigence « immédiate » associée à la défense.

Facteurs de risque et hypothèses Divulgation

La politique proposée réitère le point que les facteurs de risque identifiés dans le langage de mise en garde devrait être adapté à la conclusion, à la prévision ou à la projection présentée et ne devrait pas être de la nature d’un passe-partout. Les mises en garde devraient déterminer les facteurs importants et raisonnablement prévisibles qui pourraient causer des facteurs réels les résultats diffèrent sensiblement de ceux sous-entendus par toute perspective prospective déclaration. La CVMO fait remarquer que le moyen de défense ne doit pas être interprété comme exigeant : un émetteur d’anticiper et de discuter de tout ce qui pourrait éventuellement causer un résultat différent. Une approche semblable est proposée en ce qui concerne l' la divulgation des hypothèses. Selon la CVMO, l’examen des hypothèses devrait être adapté à la conclusion, à la prévision ou à la projection particulière présentée et la défense n’exige pas un énoncé exhaustif de chaque facteur ou hypothèse appliquée - seules les hypothèses importantes doivent être discutées.

L' Exigence relative au « fondement raisonnable »

Comme il a été mentionné ci-dessus, afin de bénéficier de la défense pour FLI, il doit y avoir un fondement raisonnable pour qu’un émetteur tire le ou faire les prévisions ou projections énoncées dans son avenir la divulgation. La CVMO a indiqué que, pour déterminer si un « raisonnable » » existe, les facteurs pertinents seraient les suivants : a) le caractère raisonnable de l' les hypothèses appliquées pour tirer la conclusion ou faire la prévision ou la projection; et b) le processus suivi pour la préparation et l’examen la divulgation prospective.

L’information prospective en public oral Déclarations

Le régime de responsabilité civile du marché secondaire de l’Ontario prévoit pour une approche abrégée du FLI contenue dans les déclarations orales publiques, qui, comme l’a fait remarquer la CVMO, est conçu pour faciliter la communication orale du FLI tout en en même temps, fournir au public l’information qu’il aurait reçu si le FCIL était contenu dans un document d’information écrit. Dans plus particulièrement, la CVMO a indiqué qu’à son avis, les exigences de la défense peut être satisfait dans des circonstances appropriées par une personne qui fait le mises en garde au nom d’une deuxième personne qui fait un énoncés prospectifs.

On rappelle aux lecteurs que la politique proposée 51-604 peut changer à la suite des commentaires reçus par la CVMO.

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