Sharon Singh commente dans le Vancouver Sun sur ce que la Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones pourrait signifier pour le secteur de l’exploration minière en Colombie-Britannique. Elle a été conférencière à la conférence Roundup 2020 de l’Association for Mineral Exploration.

Sharon dit dans Sun qu’en ce qui concerne les travaux d’exploration minière, la grande majorité des entreprises comprennent bien la nécessité d’établir des relations avec les communautés autochtones avant de commencer:

« Nous ne faisons pas d’activités perturbatrices pour le terrain en nous contentant de nous présenter et de faire le travail », a déclaré M. Singh lors de la table ronde. « En fait, nous allons de l’avant et faisons la consultation requise, les pratiques exemplaires que nous avons en place. »

Cependant, Singh a déclaré que les questions difficiles se posent lorsque les entreprises donnent avis qu’elles sont intéressées par les travaux pré-perturbation, tels que l’examen des levés magnétiques aéroportés et se heurtent à des conditions fixées par les Premières Nations qui ne sont pas nécessairement dans l’esprit de la Déclaration des Nations Unies.

Cela comprendrait les demandes de paiement avant qu’une Première nation n’entame des discussions, qu’une société d’exploration en démarrage pourrait ne pas être en mesure de payer.

« C’est là que se trouvent certaines frustrations », a déclaré M. Singh, et c’est là que le gouvernement doit faire preuve de leadership.