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L’ASFC établit les priorités en matière de vérification de l’observation commerciale 2013

28 janvier 2013

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L’Agence des services frontaliers du Canada a annoncé ses priorités en matière de vérification de l’observation pour 2013. Aux fins du classement tarifaire, ils comprennent un certain nombre de biens de consommation (jouets pour animaux de compagnie, fleurs coupées fraîches, lait de coco, cornichons, couvercles de club de golf, fers à friser, feuille d’aluminium, jantes et rayons de roue, et lentilles de lunettes) et de produits commerciaux et industriels (poteaux en T en acier, couvre-chefs de sécurité, gants jetables et de protection, et certains véhicules utilisés par l’industrie minière). L’ASFC examinera l’évaluation et la valeur en douane des biens de consommation suivants : vêtements, chaussures, yachts pour le plaisir ou le sport, fleurs fraîches coupées et préparations et produits de pâtisserie. Enfin, les cibles d’origine comprendront la literie et les draperies, la poudre de cacao, la tapisserie d’ameublement pour matelas, le crabe congelé et les pantalons en coton.

Les objectifs de vérification sont fondés sur l’analyse des risques. De plus, les vérifications aléatoires sont fondées sur un certain nombre de facteurs, y compris l’évaluation des risques, les activités de service à la clientèle et la rétroaction, l’évaluation des recettes et la promotion de l’observation volontaire. Bien qu’il soit impossible pour l’ASFC d’assurer une conformité douanière à 100 %, ses pratiques de vérification visent à promouvoir un comportement généralisé de conformité à l’importation et à l’exportation au Canada. Les importateurs/exportateurs à l’entrée et à l’extérieur du Canada, et en particulier ceux qui font le commerce des marchandises ciblées, devraient revoir leurs propres pratiques douanières pour s’assurer qu’elles sont conformes avant la réception de l’avis de vérification commerciale afin d’établir la portée de la non-conformité et de s’auto-corriger/communiquer, selon le cas: pour éviter les pénalités et la lourdeur de l’analyse rétroactive lorsque le temps est limité.

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