La CSC accorde la permission d’en appeler dans l’affaire Surveillance minière Canada c. MPO

14 janvier 2009

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Écrit par Marie H. Buchinski, Bradley S. Gilmour and Hilary Robert Stedwill

Le 18 décembre 2008, la Cour suprême du Les juges Abella, Binnie et Deschamps accordé à MinesWatch Canada (un groupe de défense de l’environnement) congé d’interjeter appel d’une décision de la Cour fédérale du Appel. La décision de la CSC dans cette affaire sera probablement ont des répercussions sur les projets qui déclenchent Loi canadienne sur l’évaluation environnementale (LCEE) les évaluations environnementales, en particulier dans les cas où : le projet proposé est principalement approuvé en vertu de la les lois provinciales.

Historique

Il s’agit de l’application de la LCEE à un projet de mine d’or et de cuivre en le nord-ouest de la Colombie-Britannique. Le responsable Autorité (AR) – le ministre des Pêches et Océans – initialement déterminé à évaluer l’exploitation minière au moyen d’une étude approfondie en vertu de la à la LCEE, qui, en vertu de la loi, exigeait le public consultation. Par la suite, l’AR a décidé de effectuer un examen préalable du projet, ce qui n’a pas été le cas rendre obligatoire la consultation publique en vertu de la LCEE.

Au procès

La Section de première instance de la Cour fédérale a statué qu’une AR a : aucune autorité n’a le pouvoir d’atteindre la portée d’un projet qui est énuméré dans la Liste d’étude approfondie (CSL) d’une certaine manière qui empêcherait l’AR d’effectuer un étude approfondie, et que, par conséquent, l’AR a eu tort de procéder à un examen préalable en vertu de la la LCEE. La Cour a expressément fait référence à l' l’absence de toute consultation publique et la nécessité pour l’intervention judiciaire.

En appel

La Cour d’appel fédérale a infirmé le procès en juin 2008 et a soutenu que les AR ont l' le pouvoir de définir et de redéfinir un projet jusqu’au une autorité fédérale rend une décision, même si le projet tel que décrit par le promoteur est au sein du CSL. La Cour a ainsi réaffirmé la décision de l’AR d’aller de l’avant avec la l’évaluation environnementale au moyen d’un examen préalable; en vertu de la LCEE et de concentrer son orientation environnementale l’évaluation des aspects de l’ensemble du projet qui : relèvent de la compétence fédérale en matière de délivrance de permis.

Devant la Cour suprême du Canada

Dans sa demande d’autorisation d’appel, MiningWatch L’avocat du Canada soutient qu’il y a deux questions d’importance nationale pour les considération, à savoir :

  1. Où que se trouve un grand projet industriel décrit sur la liste d’étude approfondie, les Canadiens ont-ils le droit d’être consultés? sur la portée proposée par une autorité responsable de la décision du projet?
  2. La LCEE accorde-t-elle les autorités responsables? le droit de déclasser un l’évaluation de l’étude à un niveau de dépistage , évitant ainsi l’obligation la consultation publique?

La CSC n’a pas expliqué en détail pourquoi elle a accordé l’autorisation d’interjeter appel auprès de MiningWatch. Toutefois, la CSC tiendra probablement compte de l' les implications juridiques des aspects du projet qui : ne relèvent pas de la compétence fédérale en matière de délivrance de permis.

Choix du moment

Des arguments écrits sont attendus cet été et les plaidoiries de l’appel devant la La Cour suprême du Canada est provisoirement prévue pour le 16 octobre 2009.

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